Quelques tips

Économies d'énergie au bureau

Comment diminuer simplement notre empreinte carbone au bureau ?

On nous en rebat les oreilles… la planète se réchauffe, les animaux disparaissent, les poissons suffoquent et les humains souffrent. OK and so what ?

Et bien on peut tous agir à notre niveau. Simplement.

Les années 2000 ont été le début du changement de communication. Le papier ou print devient petit à petit mal vu, mal perçu car trop polluant. On imprime moins à tout va, on cible mieux les personnes qui vont avoir la chance de feuilleter notre super plaquette de présentation !

C’est la prise de conscience du plus grand nombre. Le digital n’est pas la panacée écologiquement parlant. Bein oui, on y avait cru ! Le print était supplanté par les PDF et les sites Internet. Mais c’était sans compter sur la pollution digitale. « Le secteur des nouvelles technologies représente à lui seul entre 6 et 10 % de la consommation mondiale d’électricité, selon les estimations – soit près de 4 % de nos émissions de gaz à effet de serre. Et la tendance est franchement à la hausse, à raison de 5 à 7 % d’augmentation tous les ans » rappelle Françoise Berthoud, informaticienne au Gricad et fondatrice en 2006 du groupement de services EcoInfo.

La consommation électrique :

30 % imputables aux ordinateurs, téléphones, objets connectés,

30 % imputables aux data centers qui hébergent nos données,

40 % liés aux “autoroutes de l’information” – un routeur consomme 10 000 watts et un très gros data center 100 millions de watts.

Et puis les data centers doivent être rafraîchis, donc climatisation indispensable pour préserver l’intégralité des circuits électroniques.

La bonne nouvelle parce qu’il y en a quand même une et c’est que nous pouvons agir sur cette consommation.
On le sait mais qui le fait réellement ?

    • Débrancher tous les chargeurs après leur utilisation parce que même sans appareil à charger ils consomment de l’électricité.

    • Fermer ses applis lorsqu’on ne les utilise pas : 35 “applis” tournent en moyenne sur un smartphone, qu’elles soient utilisées ou pas. Résultat, les batteries se vident en moins d’une journée.

    • Éviter d’avoir 25 fenêtres ouvertes en continu sur son ordinateur.

    • Stocker au maximum sur des disques durs externes plutôt que sur le Cloud.

    • Effacer tous les documents obsolètes : faire le ménage dans son Drive, détruire les contenus PDF passés, newsletters, post LinkedIn obsolètes.
      Les bannières online et publicités display, dont on ne s’inspirera plus, continuent à consommer de l’électricité en 24/7.
      Archivez les anciennes campagnes téléchargées sur Teams, One drive, SharePoint, la DSI vous remerciera !

    • Tenir sa boîte mails propre, cela signifie de faire le ménage régulièrement dans ses mails.

    • N’envoyer des mails que si nécessaire et bien ciblés : le simple envoi d’un mail d’1 mégaoctet (1 Mo) équivaut à l’utilisation d’une ampoule de 60 watts pendant 25 minutes, soit l’équivalent de 20 grammes de CO2 émis.

    • Sauvegarder les images en .svg ou .png

    • Réduire la qualité des vidéos à 430 pixels quand cela est possible

    • Supprimer la lecture automatique des vidéos sur les réseaux sociaux

    • Limiter les vidéos à 2 minutes

    • Utiliser le mode sombre pour faire des économies d’énergie : les pixels qui affichent normalement du noir sont tout simplement éteints.

Et le travail du SEO on en parle ?

    • Travailler le SEO et comme l’indique OCM voici les bonnes pratiques en la matière :
        • Écrire des contenus dédiés à vos 4 persona (portraits robots de vos meilleurs clients) et rien d’autre

        • Optimiser les mots clés grâce aux expressions les plus recherchées en usant de la longue traîne

        • Extraire les mots clés des concurrents pour y injecter aux nôtres les termes qui manquent

        • Créer des livres blancs qui couvrent plusieurs centaines de mots clé d’un thème donné et allonger leur profondeur, les rendre accrocheurs, profondément argumentés voire illustrés. La base quoi !

        • Diffuser un bel article par mois sert davantage le SEO que des dizaines d’articles creux et sans grande valeur pour l’internaute (termes répétés trop souvent) si Google apprécie, les humains désertent le site et la crédibilité de l’entreprise en prend un coup ;-(

        • Opter pour une politique d’URL responsable consiste à éviter “la masse noire” c’est-à-dire d’empêcher Google de crawler des URL inutiles. Désindexez des URL indexées par erreur ou encore en ligne après plusieurs refontes successives.

        • Repérer et supprimer les contenus dupliqués permet de réduire le temps de crawl de Google.

Et puis ce que l’on peut faire aussi, c’est d’en parler autour de nous. Impliquer les équipes ou les clients dès la conception des contenus. Les sensibiliser à cette notion de marketing digital responsable.


Et vous, avez-vous d’autres bonnes pratiques à nous partager ?

Élodie Lambert

Élodie Lambert

Passionnée et enthousiaste j'aime partager de belles histoires ! Engagée dans diverses causes, je suis convaincue que nous pouvons faire changer le monde, chacun à son niveau...

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